Qu'est-ce que l'Open Data?
Visionnons à présent une vidéo du Ministère de la Culture et de la Communication, qui explique très clairement en quoi consiste l'Open Data.
Visionnons à présent une vidéo du Ministère de la Culture et de la Communication, qui explique très clairement en quoi consiste l'Open Data.
Le W3C, signifit World Wide Web Consortium c'est un organisme international qui développe des standards pour le Web afin que les gens puissent communiquer efficacement à travers Internet, autour de formats ouverts garantissant une meilleure compréhension des systèmes à travers des données et langages standardisés.
Le consortium existe depuis 1994 et est dirigé par l'inventeur du Web, Tim Berners-Lee.
Il est composé d'une équipe fixe et des membres (dont plusieurs centaines d'entreprises partenaires). Les membres délèguent des ingénieurs au sein du W3C et participent ainsi à l'élaboration des spécifications techniques pour les technologies du Web. De nombreux membres actifs font partie des équipes de développement des navigateurs (Microsoft, Mozilla, Apple, Opera, Google, etc).
Voici les différents langages destinés à être standardisés : HTML, XML, CSS, SVG, WAI, PNG...
Le mouvement open data pourrait être parfait pour le web sémantique, mais le problème est que les données ne sont pas au bon format : ce sont en majorité des fichiers Excel, souvent de mauvaise qualité.
Pour que l'open data contribue efficacement au web sémantique, il faudra encourager la publication de données de qualité.
Le W3C (ou World Wild Web Consortium) participe dans cette normalisation avec ses standards : les données ouvertes se classent par exemple de 1 à 5 étoiles qui permettent d'évaluer la facilité de leur réutilisation.
Mais le web sémantique n'utilise pas que de données ouvertes : nos données personnelles participent énormément au système. De ce côté, il faudra s'occuper d'un problème qui n'a pas été soulevé au moment où le web sémantique a été formulée : c'est la question de la confidentatialité des données.
Cette vidéo me semble intéressante pour ceux ou celles qui ne commprennent toujours pas ce qu'est le web 3.0.
C’est du côté des Anonymous qu’il faut regarder. Ils ouvrent la voie à une nouvelle ère d’Internet qui dans les années à venir sera désignée par le terme de Web 3.0. Alors que le Web 2.0 désigne un web participatif, intelligent, et social, le Web 3.0 désignera un Web libre, anonyme et activiste. A l'avenir, on peut imaginer que chacun pourra manipuler des données complexes sans avoir besoin de grandes connaissances en informatique.
Le web 3.0, c’est aussi le moment où le web sait tout de nous ! Il connaît nos habitudes sur internet, la page web nous ouvrons toujours en premier, quels réseaux sociaux nous utilisons le plus. Il est donc capable de nous créer une interface personnalisée quelque soit l’endroit dans le monde où nous nous trouvons, ou le support que nous utilisons pour nous connecter ! Si demain vous deviez voyager au Japon, il suffira de vous identifier sur n’importe quel support connecté au Web (Téléphone..) pour tomber sur un bureau personnalisé avec votre enfant en fond d’écran et une galerie de photos de vos dernières vacances…
http://www.gizmodo.fr/2012/02/16/le-web-3-0-est-enfin-la-mais-cest-quoi.html
Le web 3.0 désigne donc la prochaine évolution majeure du web!
Avec le web sémantique (Web des données) tous les sites seront liés d’une façon ou d’une autre. Ainsi nous serons « fichés », notamment au travers de notre navigation, nos différents profils, nos relations et nos commentaires sur les réseaux sociaux ; l’ère du marketing roi en somme… Les sites sont envahis de publicités contextuelles en rapport avec les document consultés et nos habitudes de consommation. Les moteurs de recherche deviendront de fait plus « intelligents » et les résultats beaucoup plus fins et plus ciblés.
En effet, une série de nouveaux services apparaît (tels que Second Life, Twitter, ...) Aujourd’hui, la plupart des moteurs de recherches sont des systèmes linéaires c'est à dire que l'on tape une recherche et, un listing de pages Internet nous est proposé. Avec le Web sémantique, se dessine un Web intuitif, des informations, compatible avec tous les systèmes d'exploitation et tous les objets reliés. Il tient compte de nos visites précédentes sur les sites, de notre navigation, de notre profil ; il nous propose des recherches associées à celles que nous faisons, des retours plus adaptés et plus intelligents aux requêtes… Avec le Web sémantique la demande appelle un résultat cohérent, méticuleusement assemblé. Le système travaille pour nous : il classe tous les commentaires et trouve, par déduction, une correspondance adéquate.
Pour la Commission européenne, le terme “cybercriminalité” englobe trois catégories d’activités criminelles : d’une part, la fraude et la falsification informatiques (escroqueries, fausses cartes de paiement, etc.), d’autre part, la diffusion de contenus illicites par voie électronique (par exemple, ceux ayant trait à la violence sexuelle exercée contre des enfants ou à l’incitation à la haine raciale), et enfin, les infractions propres aux réseaux électroniques, c’est-à-dire les attaques visant les systèmes d’information, le déni de service et le piratage.
Internet est devenu le média par excellence et chacun d’entre nous dans les blogs, les réseaux sociaux peut aujourd’hui véhiculer des opinions sur des personnes, des entreprises ou encore des produits sans forcément que les personnes intéressées soient conscientes de leur image positive ou négative véhiculée sur la toile.
Le Web 3.0 qui est en train d’émerger, correspond à un nouveau stade de cette évolution. Les utilisateurs de messagerie auront le plaisir de recevoir des photos, des vidéos ou encore des livres, tous liés au contenu de leurs messages. En clair, Internet va devenir intelligent de sorte qu’il ne se limitera plus à créer une intelligence collective, comme le web 2.0, mais devrait avoir d’autres objectifs et adopter un nom, un concept qui fait aujourd’hui consensus : « le Web sémantique ».
Cette nouvelle génération de l’Internet plus malin va considérablement changer les habitudes des internautes, des entreprises et mêmes permettre aux cybercriminels d’affûter leurs méthodes d’attaques.
Aussi, il faut souligner que si réellement le Web 3.0 sera plus malin que le Web actuel, comme le prévoient les spécialistes, les infractions informatiques seront, alors, encore plus sophistiquées. La lutte contre la cybercriminalité aussi devrait pouvoir s’adapter afin d’y faire face.
Avant de parler du Web 3.0, il est important de revenir en arrière. Pendant longtemps le Web 2.0 ne s’appelait pas. Il a fallu attendre 2003-2007 pour que le terme s’impose enfin dans le monde.
Le Web 2.0 désigne aujourd’hui l’Internet communautaire qui permet à tout un chacun de participer à un site, d’enrichir son contenu ou d’intégrer un réseau social. Alors que le Web 1.0 était réservé aux informaticiens qui maîtrisaient l’HTML, le Web 2.0 offrait des outils révolutionnaires à monsieur Tout-le-Monde pour que lui aussi viennent enrichir la toile de ses contenus. Les blogs, les réseaux sociaux, ou le fait de laisser un commentaire ont fait évoluer le Web 1.0 vers le web 2.0.